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RAPPORT D'ACTIVITES BDU-BF 2020
Mot du Directeur Général
Chers Clients et Partenaires,
Il faut rappeler que l’année 2020 correspond au sixième exercice de la Banque de l’Union Burkina-Faso (BDU-BF). Il a été caractérisé principalement par deux faits marquants :
- L’apparition de la pandémie à COVID- 19 entrainant la paralysie de l’activité économique au triple plan national, sous régional et international et cela consécutivement aux restrictions notamment sanitaires imposées par presque tous les pays ;
- et les conséquences de la crise sécuritaire que connait le pays depuis 2016.
En dépit de ces contraintes, l’activité de notre Etablissement a connu une hausse relative de plus de 47,94% en pied du bilan et 35,16% en Produit Net Bancaire (PNB) grâce à :
- la poursuite de la politique d’extension du réseau des agences ;
- l’accroissement du portefeuille des dépôts et des crédits par des actions de promotion.
De facto, au 31 décembre 2020, la situation de la banque se résume à :
- Un total bilan de 230.260 millions FCFA contre 155.646 millions FCFA au 31 décembre 2019 ;
- Un PNB de 7.050 millions FCFA contre 5.216 millions FCFA au 31 décembre 2019 ;
- Un bénéfice net de +3.005 millions FCFA contre +2.018 millions FCFA au 31 décembre 2019 ;
Cette performance très louable est le fruit des efforts conjugués de la clientèle, de l’ensemble du personnel et des partenaires et du soutien du groupe.
Ces efforts devraient être poursuivis au courant de l’année 2021 afin de consolider la situation financière de la banque et renforcer le respect des normes prudentielles de gestion conformément à la réglementation bancaire.
Karim BAGAYOKO
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LA BANQUE DANS SON ENVIRONNEMENT
L’activité économique mondiale a été fortement marquée par la pandémie de COVID-19, caractérisée par des séries de confinements sur les cinq continents.
Le même constat s’est fait ressentir en Europe et aux États-Unis. Cependant l’homologation de certains vaccins vient redonner de l’espoir et ramener ces États à mettre en place des solutions de relance pour 2021.
En Afrique subsaharienne et particulièrement dans les pays membres de l’UEMOA, les conditions financières mondiales étant resserrées, on a pu constater entre autre, la fuite de capitaux et la chute du prix des matières premières. Sur ce point le rapport de la banque mondiale indique que la croissance économique devrait ainsi passer de 2.4% en 2019 à une fourchette entre -2.1% et -5.1% (...) .
Retrouver le rapport complet a travers le lien de téléchargement ci dessous .
Téléchargements : fichiers/acwzAjTw5mn9Eqnjngx1qrWx4cHsdDRYM7S30sij.pdf
BDU - BF